vendredi 28 mars 2008

sommes nous des damnés?

De Taya et sa bande on avait cru en être débarrassé avec l'élection de SIDIOCA. Pour ceux qui y crurent dur fut la chute, car il ne fallait pas être devin pour comprendre que la marge du président élu était étroite. Pris en sandwich entre les militaires qui dans l'ombre tirent les ficelles et la meute des déprédateurs que constitue sa majorité, le président n’avait d’autres choix que de se plier aux exigences de sa majorité : la ressuscitation du défunt parti/état sous une forme nouvelle. Ainsi ces hommes qui ont mis ce pays à sac ont le culot de donner des leçons de morale.

Ils montent aujourd’hui au créneau pour critiquer le gouvernement et demander la démission du PM. En spectateurs du destin de notre pays que nous avons toujours été et parfois même complice de cette descente aux enfer, nous assistons une fois encore sans réagir a la phagocytose de l’état.

Avons-nous la mémoire si courte? Allons nous accepter, une fois de plus d’avaler des couleuvres alors qu’on en a tant avalé à en être constipé. Aujourd’hui plus que jamais la menace est là et bien là, vicieuse et subtile mais quand même là.

Les signes avant coureur de la détermination des rapetou à revenir de revenir aux affaires se multiplient. Tous ensemble faisons un bloc et disons :

NON AUX RETOURS DEPRADATEURS

Notre cher pays revient de loin, les acquis démocratiques doivent être sauvegardés à tout prix, même si tout n’est pas rose il y’a une nette amélioration des choses, nous devons tout faire pour barrer la route aux Rapetous car tout le remue ménage sur la scène politique est qu’ils sont loin des affaires depuis un an et tiennent à y revenir par tous les moyens. L’attente commence à être longue pour eux, si ce n’est pour leurs poches qui commencent à se dégonfler.



NDIAYE

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